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- depuis Strasbourg et Colmar : autoroute A35, sortie Sélestat Z.I. Nord

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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 09:51

              fantastique




Thirst
de Park Chan-wook
dist. Universal Video
thirst 
Sang-hyun, jeune prêtre, devient vampire à la suite d'une transfusion sanguine d'origine inconnue. Peu après sa transformation, il retrouve un ami d'enfance qui vit avec sa mère et son épouse. Il succombe alorsà la violente attirance charnell qu'il éprouve pour la jeune femme...
a
l'avis du vendeur
Prix du jury au Festival de Cannes, Thirst peut être considérer comme l'antithèse de Twilight. Ici pas d'amour éternel, le vampire n'est plus romantique mais bestial, en proie à de violente pulsions. C'est ici que le personnage de prêtre devient intéressant, lui si chaste et si dévot a beaucoup de mal à résister. C'est le génial Song Kang-ho (the Host, Memories of Murder, Sympathy for Mr Vengeance...) qui donne vie à ce personnage de façon, comme toujours, magistrale, à la fois troublant et drôle. Le reste du casting ne démérite pas à l'image de l'excellent Shin Ha-kyun (comparse de Song Kang-ho dans JSA, Sympathy for Mr Vengeance et Lady Vengeance, tous deux signés Park Chan-wook) et la jeune Kim Ok-win, impressionante dans un rôle radical et malsain.
Comme à son habitude, Park Chan-wook joue les maestros de la mise en scène avec force de mouvements de caméras et de plans très riches, sans que cela ne désserve un récit passionnant. Les scènes de vampirisme sont quant à elles très softs, se coulant  parfaitement dans la cohérence du film.
Un film de vampire qui est donc plus à rapprocher de Morse qui, dans la récente tradition du cinéma coréen, mélange sans complexe les styles et les ambiances, à la fois drôle, émouvant, glauque, révoltant et angoisant. La fin du film est à ce titre une pure merveille...
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29 juillet 2010 4 29 /07 /juillet /2010 07:36

 
Alice au Pays des Merveilles

Samedi 24 juillet 2010


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Retour en images sur la journée spéciale Alice au Pays des Merveilles à l'ooccasion de la sortie du DVD du film de Tim Burton...

 

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Un concours de nouvelles était organisé, voici les lauréats :

 

- Catégorie 16 ans et moins :


1ère : Camille Maldonado

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2ème : Elodie Kenck

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3ème : Laureline Vareil

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- Catégorie plus de 16 ans :

 

1er : Gilles Gavroy

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2ème : Céline Hilt (assurant ici le pôle maquillage)

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3ème : Jean-Christophe Haber

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En cette journée, l'équipe du Culturel s'était mise aux couleurs de la Reine de Coeur dans un espace redécoré pour l'occasion :

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En plus de finir deuxième du concours de nouvelles, Céline Hilt a également tenu avec brio l'espace maquillage qui a accueilli de nombreux enfants. Un grand merci à Céline !

 

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Et pour paraire le tout, une aniamtion musicale a été assurées magnifiquement par la violoniste Anne-Sophie Golé qui nous a enchantés avec les "Fantaisies" de Telemann avant de conclure sur le morceau "Sur le Fil" de Yann Tiersen. Un immense merci à Anne-Sophie pour son implication, son investissement dans ce projet et sa prestation dans des conditions loin d'être évidentes  !

 

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Et en cadeau final, une petite vidéo de la prestation d'Anne-Sophie Golé :

 

   
Un grand merci à Thomas pour son soutient, au Padawan pour son investissement  à tous les participants duconcours de nouvelles et bien sûr encore une fois à Céline et Anne-Sophie pour leur venue et leur sympathie !

 

Photos : Benoit, Julien & Cédric

Retrouvez plus de photos sur la page Facebook de l'Espace Culturel !

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21 juillet 2010 3 21 /07 /juillet /2010 07:59

logoCULTUREL.jpgL'Espace Culturel aime

Léz'Arts Scéniques...


... et le prouve.

 

 

A quelques jours du festival, du 30 juillet au 1er août, l'équipe de l'Espace Culturel se met au couleur des Arts Scéniques...  Instants choisis :

 

Christelle.JPG

Christelle, sous les pavé le rock

 

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Christine, "Quoi ma gueule ?"

 

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Katia (et tout au fond Xavier)

 

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Mireille... danse la gigue ?

 

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Noémie, la folie estivale

 

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Sandrine, sage... pour une fois

 

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Virginie, rockeuse à frange

 

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Virginie, novice dans l'art de la grimace...

 

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Benoît, alias Lemmy 2

 

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Cédric, qui a oublié ses médicaments du matin...

 

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Christian, au taquet, attend les Buzzcocks

 

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Yves... sans cravate... incroyable...

 


Et c'est ensuite que c'est devenu n'importe quoi...

 

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Xavier, qui ne pose qu'avec des filles

Merci Virginie et Noémie pour votre sacrifice...

 

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Cédric et Benoît s'entraine pour Bad Religion...

 

 

Et on a même été cherché les coupaings :

 

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Ludo (brun-blanc) & Angélique (presse)

 

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Christiane (presse)

 

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Boris (brun-blanc) qui a pogoter

avec un lecteur DVD

 

 

Rendez-vous dernier week end de juillet, nous on est prêts !!!

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 08:41

          littératture étrangère



Rebecca James
la Beauté du Mal
Oh! Editions, 2010
a
beautemal
a
Toutes deux cachent un inavouable secret. Quand elles le découvriront, leur amitié sera-t-elle plus forte que la vengeance ?
Alice est la fille la plus populaire du lycée. Katherine, la plus effacée. Et pourtant, ce sont les meilleures amies du monde. Grâce à Alice, Katherine reprend goût à la vie après le drame qu’elle a vécu l’année précédente : sa petite sœur adorée a été sauvagement assassinée par une bande d’ados, sous ses yeux. Katherine n’arrive pas à se le pardonner. Ce terrible secret, elle ne l’a jamais partagé avec personne. Jusqu’à Alice. Sa sœur spirituelle. À qui elle peut tout dire. Vraiment ? Car si Alice est l’amie la plus douce et la plus attentionnée, elle peut aussi se montrer terriblement dure, cassante, méchante. Au point que Katherine s’interroge : connaît-elle Alice si bien que ça ? Sauf que douter d’Alice, c’est la rejeter. Et c’est là que les ennuis commencent…
a
L'avis de la libraire
Premier roman de Rebecca James, la Beauté du Mal a remporté un grand succès à travers le  monde. Et pour cause, le récit suit l'histoire de Katherine à deux moments de sa vie, ces deux périodes s'alternant à chaque chapitre.  Le lecteur a donc l'impression de suivre deux histoires à la fois, passant de l'une à l'autre sans que la fluidité de la narration n'en soit gênée.
Le personnage d'Alice est passionnant, d'une violence psychologique rare, et incroyablement bien construit. Elle fait naître des moments de tension hallucinants, fait preuve d'une cruauté impressionnante, et entraine le lecteur dans une spirale impossible à quitter avant le dénouement.
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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 07:02

                                  manga



Nouvelles séries manga

En février dernier, j'avais déjà fait un post sur les nouvelles séries manga qui déferlaient sur notre France de plus en plus amatrice de BD nippone. Aujourd'hui, je remets le couvert tant ce début juillet est riche en sorties. Car, en plus des nouveaux tomes de Naruto, One Piece, Pluto, Hunter X Hunter, l'Île de Hozuki, Soul Eater, Yotsuba, Fairy Tale et j'en passe, des petits nouveaux font leur arrivée dans nos rayons et pas des moindres car on compte parmi eux deux séries déjà cultes au Japon : Bakuman et Liar Game.


Bakuman
de Tsugumi Ohba & Takeshi Obata
 Kana, 2010
 
bakuman
a
Bienvenue dans les coulisses du manga !
Mashiro possède un don évident pour le dessin. De son côté, Takagi, le meilleur élève de sa classe, écrit des scénarii. Ensemble, ils vont forcer le destin ! La lente ascension pour réaliser le meilleur manga jamais édité commence !
 
L'avis du libraire
Les amateurs de manga auront tout de suite remarqué le duo d'auteurs de Bakuman, Obata et Ohba n'étant autres que le duo à l'origine de Death Note, ce qui fait de Bakuman l'une des séries les plus attendues de l'année. L'autre particularité de cette série est son thème. Alors que les manga initiatiques parlent d'univers et de domaines aussi variées que la boulangerie, le jeu de Go ou l'oenologie, pratiquement aucune ne s'intéressait à ses propres coulisses. Bakuman monre en effet l'ascension dans le milieu du manga de deux jeunes garçons au rêve commun, met en avant les coulisses de la prépublication, les difficultés à être édités et la facilité à retomber dans l'anonymat et l'inactivité.
Servis pas les dessins toujours aussi magnifiques de Takeshi Obata, Bakuman n'en reste pas moins un récit très prenant et passionnant, notamment par la grande réussite des personnage et le sens de la tension que parvient à nouveau à faire naître Tsugumi Ohba dans un registre bien différent de celui de Death Note. 
Un langa à la fois addictif, drôle et très instructif à savourer dans les deux premiers tomes sortis début juillet, en attendant impatiemment la suite...
a
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Liar Game
de Shinobu Kaitani
 Tonkam, 2010
  liargame
 
Un beau jour, un colis arrive.
A l'intérieur, une carte : "Vous avez été désignée parmi 100 000 personnes pour être candidate au Liar Game Tournament", accompagnée de cent million de yens en cash. C'est comme ça que le "Jeu du Menteur" débute.
Sa seule règle : rendre cet argent à l'expiration de la durée du jeu, soit le 30e jour.
Celui qui réussira à s'emparer des cent millions de son adversaire sera déclaré vainqueur et empochera cette somme. Quant au perdant, il se retrouvera avec une dette équivalente...
Qui croire ? De qui se méfier ? Comment se sortir de se piège, surtout quand on est aussi naïve et gentille que l'est Nao ?
 
L'avis du libraire
Thriller psychologie impressionnant d'intelligence et par ses retournements de situations, Liar Game a été dès ses premiers chapitres vu comme le digne successeur de Death Note. Et pour cause, à l'instar de Light et L dans Death Note, Liar Game montre l'affrontement psychologique de personnages à l'intelligence rare dans des situations d'extrême tension.
Malgré une couverture assez hideuse, le dessin du manga est très réussi et nous immerge rapidement dans ce thriller qu'il devient vite impossible de lâcher.  Chaque tome du manga mettra en scène les différents round du Liar Game Tournament avec des règles de plus en plus tordues et stressantes. On se prend même très rapidement à "jouer" à la place de Nao, essayer de trouver la solution pour remporter le round. 
Une série à découvrir sans faute !
 
a

Monster Hunter Orage
de Hiro Mashima
 Pika, 2010
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monsterhunter
a
"Ce sont les rencontres qui transforment ce qui est imaginaire en vérité !"
Shiki, le chasseur aux deux sabres du vent parcourt les routes depuis la mort de son maître Grelee qui lui a laissé ces mots...
C'est à Akamaya qu'il va croiser le chemin d'Eilee, une jeune fille au caractère bien trempé. Réunis par le destin, ils vont tous deux partir en quête d'un monstre légendaire connu sous le nom de Miogarna.
La grande chasse a commencé !
 
L'avis du libraire
Lorsque l'auteur de Fairy Tail adapte en manga le jeu culte Monster Hunter de Capcom, on peut s'attendre à un grand moment de manga. Et le grand moment est effectivement au rendez-vous ! Le mangagka au style si particulier ne se fait jamais manger par l'univers prédéfini du jeu vidéo et apporte sa personnalité au récit : humour burlesque et rythme déluré sont donc au programme de ce premier tome très prometteur.
Que ce soit soit visuellement (design de personnages, découpages des planches...) ou narrativement (action menée par étapes, gags réguliers...), la vision de Mashima de l'univers Monster Hunter est très proche de Fairy Tail, pour le plus grand plaisir des fans de cette série déjà culte.
Une série donc plus que prometteuse...
 
a
Pandora Hearts
de Jun Mochizuki
Ki-oon,  2010
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pandorahearts
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Oz Vessalius, 15 ans, est l'héritier d'un des quatre grands duchés du pays. Le jour de sa cérémonie de passage à l'âge adulte, des bourreaux masqués le précipitent dans un monde sombre et confus, l'Abysse, pour un crime dont il ignore tout.
Dans cette prison à l'écart du temps, il rencontre Alice, une jeune fille aux pouvoirs mystérieux, qui lui propose de nouer un pacte pour l'arracher à ce cauchemar. Mais l'organisation secrète Pandora, qui a pour mission de lever le voile sur les mystères de l'Abysse, attend son retour de pied ferme.
 
L'avis du libraire
Histoire ultra classique du manga de Fantasy, Pandora Hearts se démarque rapidement des ses concurrents par un dessin magnifique et des personnages très forts. Bourrées de références à la culture fantastique (Alice au Pays des Merveilles, le Magicien d'Oz...) le récit, au départ très léger, gagne en profondeur et en noirceur au fil des pages. Et même si le déroulement de l'intrigue est lui aussi très classique (mystère, découverte, enquête, réponse amenant plus de questions et une grosse baston pour finir), l'histoire n'en est pas our autant prévisible ou ennuyeuse et on se passionne très vite pour le destin d'Oz, le mystère Alice ou les véritables desseins de l'organisation Pandora. 
Un manga sur les apparences, parfois trompeuses, parfois non...
 
 

Spiral
de Kyo Shirodaira & Eita Mizuno
 Pika, 2010
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Narumi Ayumu est un jeune lycéen dont la vie va être bouleversée le jour où il est impliqué dans une affaire de meurtre. De plus, c'est sa propre belle-soeur, Madoka, qui est chargée de l'enquête. La situation est très délicate car Madoka et Narumi vivent ensemble depuis la disparition mystérieuse de son frère auquel Madoka était mariée. L'enquête les entraine sur les trace d'un groupe mystérieux se faisant appeler les Blade Children...
Entrez dans la spirale !
 
L'avis du libraire
Chose assez rare, Spiral est un manga à épisodes, chaque chapitre étant plus ou moins indépendant mais formant entre eux une histoire cohérente. C'est l'une des principales de ce manga très sympatique, à la fois drôle et intriguant qui porte très bien son nom : au fur et à mesure des enquêtes, l'étau se ressert mais le mystère s'élargit laissant présager du meilleur pour les tomes suivants. Et malgré quelques petites maladresses du récit, on se prend très vite d'affection pour les personnages on désire en apprendre vite plus sur les Blade Children, juste évoqués dans ce premier tome...
 
 

Aïshite Knight
de Kaoru Tada
 Tonkam, 2010
lucileamour
Yaeko vit avec son père, gérant dun restaurant. La jeune fille a beau y avoir passé sa vie, elle ne sait pas cuisiner ! Et pour cause, un autre destin l'attend... Découvrez l'histoire d'amour drôle et savoureuse entre une jeune fille naïve et un rockeur au grand coeur.
 
L'avis du libraire
Si je vous dis Lucile, Mathias, Tristan, Benjamin et Roméo... tous les spectateurs du Club Dorothée auront tout de suite reconnu la série "Lucile, amour et rock n'roll" qui a bercé l'enfance de pas mal de trentenaires. Tonkam propose d'enfin découvrir le manga originel, une curiosité old school (1981) qui ravira les fans des Beehive !
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Parmi les autres nouveautés du mois, citons Rinne de Rumiko Takahashi (Kaze), un manga à l'ancienne très drôle sur  les fantômes et la réincarnation ; Mei's Butler de Riko Miyagi (Glénat), une romance qui surfe sur le succès de Black Butler : ou encore Suidoken V, le château de l'Aurore de Mizuki Tsuge (Kaze), l'adaptation aux dessins somptueux du RPG culte de Konami.
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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 08:04

                                              ROCK



 

 

Kele

"the Boxer"
2010, Pias

 

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L'avis du vendeur

Le sens de la modernité

En mai 2005, j'avais acheté, oreilles fermées, le 1er cd de Bloc Party et 2 mois plus tard j'avais participé à leur triomphe aux Eurockéennes.
Après 3 galettes avec son groupe, le chanteur guitariste Kele Okereke sort un album solo. Je l'ai également acheté les oreilles fermées.
La musique de Bloc Party a été classée post new wave, mouvance Pil ou Gang Of Four. Pour ma part, je dirai plutôt rock pop moderniste année 00 avec la particularité de cette voix soul de chanteur noir (je vais d'ailleurs réécouter le cd des remix années 00 de Gang Of Four, j'aurai peut-être une surprise).
Kele est un personnage charismatique qui allume le public avec une phrase et quelques petits sauts sur les planches.
Son opus solo est dans une mouvance beaucoup plus electro. Faut dire que Kele avait déjà œuvré avec The Chemical Brothers sur l'énorme album "Push The Button" en 2005 et avec Tiesto en 2009.
L'écoute est très agréable et nous fait parcourir des chemins de traverses entre techno prononcée "On The Lam","All The Things I Could Never Say", dub sautillant "Tenderoni", electro léger à la XX "The New Rules", sous une couverture vocale soul des plus onctueuse.
Chaque titre à sa richesse et sa construction propre.
Malgré tout cela, l'ensemble des 10 morceaux est très homogène. Rien à voir par exemple avec les sons beaucoup plus colorés et ludiques de LCD Soundsystem dont je vous avais parlé récemment sur ce même blog.
Les sonorités précieuses au beat affiné accompagnent une voix sensuelle qui devient peu à peu irrésistible.
La contrebasse (ou l'électronique) soutient merveilleusement une voix féminine sur "The New Rules".
Je vous laisse découvrir et déguster cette petite galette à la très belle pochette noire et sépia. Il s'agit d'une photo d'un boxeur assis sur une chaise rétro. Virilité et sensualité. Voilà un concept des plus modernes.
Vivement Kele en concert. Comment saura-t-il rendre cette nouvelle voie musicale sur scène ? Je suis sûr que l'électronique sera bien soutenue par des vrais instruments.
Et puis la présence physique du maître de Bloc Party fera tout le reste.
Le temps de poser ma plume et je remets la galette.

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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 14:41

                 Témoignage



Helen Brown
Cleo & Sam
JCG, 2010
cleosam

 

Le témoignage bouleversant d'une mère : Comment un chaton, Cleo, va aider une famille à faire le deuil d'un petit garçon, Sam. Helen est mère de deux garçons, Sam et Rob. Sam, l'aîné, 10 ans, est passionné par les animaux. Quand la voisine Luna leur propose un chaton, Sam insiste auprès de ses parents pour l'adopter. Helen accepte que ses fils aillent voir les chats mais refuse catégoriquement qu'ils en rapportent un à la maison. Quelques mois plus tard, c'est le drame. Sam, qui a trouvé un pigeon blessé, veut le porter chez le vétérinaire. Sur le chemin, une voiture percute et tue le petit garçon. Rob, impuissant, assiste à la scène. Il ne s'en remettra jamais. La famille va réapprendre à vivre en accueillant, d'abord avec réticence, le petit chat qu'apporte Lena. Le petit chat de Sam, celui qu'il aurait pu avoir. Une petite chatte en réalité, Cleo, qui va recevoir la tendresse que la famille avait pour Sam.

 

L'avis de la libraire

Histoire très prenante et touchante, bouleversante même, d'un chat qui vécut 24 ans dans une famille tel un ange gardien avant de partir une fois sa mission accomplie.

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 07:38

                                              ROCK



 

 

Doors

"Live In New York - Highlights"
2010, Warner

 

 doors-live

 

L'avis du disquaire
 

Des Portes somptueuses !

 

Ces dernières années, la  production musicale a atteint un beat infernal.

Voyons, est-ce l'année, mais non, est-ce le mois AC/DC ? Stones ? Indochine ? Gainsbourg ? Hendrix ?

C'est le mois The Doors !

La sortie cinéma du rockumentaire "When You're Strange" est accompagné par le buzz traditionnel et juteux.

Tout d'abord, les rayons des disquaires proposent tous les albums du groupe à des prix vraiment très abordables. On y trouve également l'album "An American Payer", les poésies de Jim Morrison, dont l'acquisition n'a pas toujours été très aisée, un live à Pittsburgh de 1970, la BO du film et l'objet de ma rubrique, le live à New York.

Attention, il s'agit d'un live, comme si vous n'y étiez pas, c'est à dire, enregistrement nickel, le son est très bien travaillé, on est loin des tumultes émeutiers des concerts des Doors. Oh certes, la foule est présente, mais c'est bien agréable de pouvoir écouter plus de musique live que de foule live.

Pour vivre l'événement, fallait juste y être, ce jour là, … Je rabâche sans cesse que la musique se vit en direct (en live pour les anglophone).

 

En fait, c'est un opus de 6 cd, 88 morceaux, plusieurs doublons car l'enregistrement résulte de 4 show sur 2 jours de concert à New York, au Felt Forum les 17 et 18 janvier 1970 (cd 1 pour la 1ère  prestation, cd 2 et 3 pour la 2ème prestation, cd 3 pour la 3ème prestation et cd 5 et 6 pour la 4ème prestation).

C'est probablement le meilleur concert des Doors en 1970. D'ailleurs la majorité de l'album compilation "Absolutely Live" a été repris de ce magnifique concert.

C'est donc du brut, du réel, de vécu…

 

Ce live a été enregistré juste avant "Morrison Hotel". On y trouve donc la plupart des titres de cet album. Par contre, évidemment rien du futur et Enorme album "L.A. Woman" et du chef d'œuvre "Riders On The Storm".

On est encore en plein dans la tourmente et la folie des tournées du groupe et dans l'after affaire de Miami.

Ces enregistrements publics font partie des derniers.

Je ne vais pas lister les 88 morceaux, tous les grands y sont, de même que quelques reprises comme le célèbre "G.L.O.R.I.A" des Them ou "Who Do You Love" de Bo Diddley.

Ce coffret ou plutôt coffre, est une pure merveille, quarante ans plus tard, la musique des Portes est toujours aussi belle et somptueuse, aucunement marquée par le temps.

 

 

doors-boPetit mot rapide pour le cd de la BO du film "When You're Strange". L'album est un bel objet, pour fan et complétistes uniquement, comprenant bien l'anglais.

Il s'agit bien sûr de la BO complète et fidèle du film sorti il y a 3 semaines "When You're Strange". L'album rassemble une quinzaine de morceaux studio ou live, mono ou stéréo, 2 interviews de Jim et 15 poèmes de Jim, profondément déclamées par Johnny Depp.

Le film est un rokumentaire construit seulement sur des images d'époque, concerts, interviews, extraits télé,… et des extraits d'un film "expérimental" tourné par Jim.

Je recommande vivement ce film, témoin d'une époque qui pourra étonner plus d'un jeune habitué aux concerts formatés et convenus de nos jours.

Rien à voir avec le film biopic romancé "The Doors" d'Oliver Stone de 1991, bon film, un peu critiqué car caricatural, mais dont l'interprétation du personnage de Morrison par Val Kilmer est excellente, voire exceptionnelle. L'acteur avait lui-même interprété plusieurs morceaux à en avoir du mal à différencier sa voix avec celle de Jim. 

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 22:40

 
Fête de la Musique
lundi 21 juin 2010

 

 

moorings-GD L'Espace Culturel fête la musique ! Après leur belle victoire au Superbowl début juin aux Tanzmatten, le groupe sélestadien The Moorings a présenté son folk irlandais qui sent bon le houblon. En formule quator (voix/guitare, harmonica et deux violons), le groupe à fait sonner des standards de la musique traditionnelle irlandaise comme Dirty Old Town ou the Wild Rover. 

 

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Et en guise de cerise sur le gâteau, une petite vidéo :

 

 


 

Un énorme merci à Delphine, Zip, Denis et Riton pour leur venue et leur énergie ! 

 

 

The Moorings on Myspace : http://www.myspace.com/moorings

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18 juin 2010 5 18 /06 /juin /2010 11:18

                                     @ SELESTAT



 

 

LCD Soundsystem
"This Is Happening"
2010, EMI

 

LCD-Soundsystem---Photo-pochette.jpg 

L'avis du disquaire

Let's dance !

Ce nouvel opus, le 4ème album de LCD Soundsystem, est en fait une magnifique galette electro fortement teintée de rock et de pop, mais également une ribambelle de clins d'œil à des musiques qui ont marqué les lointaines années new wave et les récentes années 00. C'est léger, c'est frais, riches de sonorités et de mélodies, certains morceaux sont carrément Dance Floor.
J'aurai pu parler du dernier Death Weather intense et plombé ou du grand retour de Paul Weller, mais non, mon p'tit coup de cœur, là tout de suite, c'est cette savonnette LCD, elle glisse sur le corps, elle rafraîchit, elle sent si bon …
Le démarrage se fait sur une boîte à rythme qui a la bonne idée de mélanger XTC à Human League "Dance Yrself Clean". Effectively, très propre, hypnotique, dansant, ... et succulent !
Le 2ème acte peut paraître déroutant, "Drunk Girls" nous plonge direct dans du Blur sauce Parklife. Mais l'adepte Velvet Underground que je suis pense immédiatement à la syncope White Light, White Heat. Bien foutu, mais dispensable.
Je passe à la plage number 3. Ah mes amis, "One Touch" c'est volupté. Ce morceau en dance floor est digne de mon chouchou des années 80, c'est en effet très proche de Cabaret Voltaire. Ah souvenirs, souvenirs ! Superbe.
Suite avec "All I want", puis "Never Change", là encore du Cabaret Voltaire à la sauce Bowie.
N'allez pas croire que je vais tout vous décortiquer. Il reste encore 4 titres à découvrir. Je ne peux m'empêcher de souligner l'influence évidente (ou le clin d'œil,) à la funkytude de Talking Heads pour "Pow Pow" et "Home" et la similitude de "Somebody's Calling Me" avec le "Nightclubbing de Pop Iggy.
C'est vrai que cet album court-circuite tout jukebox cérébral normalement constitué. Mon petit commentaire pourrait évoquer du plagiat.
Je crois que c'est plutôt une revisite de sonorités dans un contexte 2010. C'est vraiment bien produit, sans prétention, just dance. D'ailleurs le titre de l'album est "This Is Happening". C'est cela, un happening. Et ce happening je vais le vivre de vive ouïe car je ne raterai pas LCD Soundsystem aux Eurockéennes d'ici quelques jours. Je vous garantis que le dance floor sera très chaud, bouillant même.
James Murphy, le leader du band, a annoncé que c'était le dernier album de LCD. En tous cas, une belle conclusion. So let's dance.

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