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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 10:45

                           PUNK ROCK





BAD RELIGION

"The dissent of a man"
2010, PIAS

 

badreligion.jpg

 

L'avis du disquaire

Après trente ans de carrière, Bad Religion a prouvé cet été lors des Arts Scéniques à Sélestat qu'il avait encore de l'énergie à revendre et de la rage sociale à déverser. Plus rien à prouver mais aucune intention de se reposer sur ses acquis de groupe culte et quasi créateur d'un style qui a produit ensuite de grands groupes comme Offspring, Green Day, Sum 41, Blink 182...

Après la scène c'est sur disque que le sextet californien vient le démontrer. En quinze titres (parmi lesquels on retrouve avec plaisir le tubesque "Won't Somebody" présent en acoustique sur l'édition limitée du prédédent album), Bad Religion nous prouve encore une fois que son inspiration semble inépuisable dans un style et un son qui n'ont pratiquement pas changé ces quinze dernières années : trois guitares tout à fond, des couplets très rythmiques et des refrains en forme d'hymnes.

 

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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 00:00

                  CHANSON (?) FRANCAISE





KATERINE

"Philippe Katerine"
2010, Universal

 

philippe_katerine_la_banane_.jpg

 

 

L'avis de Christian

Katerine encore bordeline ou serait-il devenu un enfant sage ?
Ca en a tout l'air. Sur la pochette, il pose entre ses parents qui d'ailleurs chantent avec lui, tout comme sa fille Edie et Jeanne Balibar. Etonnant, non ?
En fait j'avais vraiment découvert Katerine sur la scène de la Laiterie en 1995 après quelques passages radio des plus délirants et je l'avais revu aux Eurockéennes 2006 pour un énorme concert où sa prestation scénique accompagnée par des membres du groupe Little Rabbits avait mis le public en transe frénétique.
Pour ce 9ème opus studio depuis 1991, les textes sont devenus plus minimalistes, la musique plus rock. Le non-sens et l'esprit surréaliste décoincé ont viré vers une espèce de délire et de joyeux bordel.
24 titres de 56 secondes mini à 3'19 maxi pour raconter la vie de tous les jours, téléphone, bisous, Vélib, banane, ordinateur.
Pas de plongé vers l'electro dance comme sur le dernier cd, mais retour à la guitare pour des rythmes rock, accrocheurs, colorés.
Auriez-vous pu imaginer un duo avec Jeanne Balibar ? C'est fait avec "J'aime Tes Fesses".
Connaissez-vous un chanteur/euse  dont les parents chantent (faux) des couplets et qui parlent de femmes nues ? C'est fait avec "Il Veut Faire Un Film".
A part Gainsbourg et son Gainsborrow, connaissez-vous un chanteur dont la fille fait la réplique ? C'est fait avec "A Toi".
A ne pas rater "Liberté" (Liberté mon c., égalité mon c., fraternité mon c.), déjà largement diffusé sur France Inter. Un hymne, un must, une ode !
"La Banane" est un hommage à la paresse, avec une mélodie de déjà entendue quelque part, tube radio potentiel (voir le clip sur Youtube).
Sur le précédent "Robot Après Tout", Katerine montait le son. Sur cet album, "Je M'Eloigne Autant Que Je M'Approche" joue également avec le volume sonore.
Le morceau "Bla Bla Bla" est succulent on pense de suite aux Blah Blah Blah de l'Iguane (Pop Iggy) dans un rythme d'une célèbre chanson allemande Da Da Da et un rythme refrain à la Queen.
"Juifs Arabes" sont les 2 seuls mots de ce titre, le rythme et la musique sont superbes. Puis un troisième mot "Ensemble" se rajoute à la fin de chaque strophe. Trois mots pour tout dire. Final en apothéose. Absolument magnifiques ! Petit-chef d'œuvre de minimalisme expressif.
"Morts-Vivants" est la version punk du bar des potes de Renaud. Je vous laisse découvrir la longue liste des noms énumérés. Fabuleux.
Comment tu t'appelles ? "Philippe" (je vous laisse découvrir).
Derrières des mots dérisoires, quelquefois osés, des mots d'enfants, des phrases absurdes, des énumérations telles l'alphabète, des  phrases n'importe quoi à première ouïe, se cachent des vérités, des psychanalyses cachées, de l'humour même pas lourd, … Il est des mots et des phrases engagées, des sous-entendus qui en disent long.
J'imagine des duos des plus beaux avec Brigitte Fontaine. Faites passer le message.
Que dire encore, les 24 plages s'enchaînent entre ballades et rythmes plus accentués, mais le fun est là et mène la cadence.
Katerine est un genre de punk 2010 qui ose chanter les 4 notes de Windows sur "Musique D'Ordinateur", vous savez, quand vous coupez l'ordinateur, di da dong dong, et qui les emballe d'une belle mélodie sirupeuse. Si ce n'est pas punk que cela ?
Katerine s'accapare de la reine d'Angleterre sur "La Reine D'Angleterre" (attention very shoking) comme l'ont fait les Sex Pistols à la grande époque du punk.
Mais voilà la 3ème fois que l'album passe en boucle.
Et je monte le son !
D'ailleurs j'ai déjà le ticket to ride dans ma poche pour aller revoir Katerine à la Laiterie d'ici quelques semaines. Raison ai-je.

 

L'avis de Cédric

Après l'énoooorme succès de "Robots après tout" (et ses tubes "Louxor j'Adore" et "100% VIP") et quelques disgressions expérimentales, revoici le plus déjanté des chanteurs français pour un neuvième album encore plus fou.

Fou par ses mélodies et sonorités, même avec une instrumlentation et des arrangements beaucoup plus élaborées qu'il y parait.

Mais fou surtout par ses paroles sorties tout droit de l'esprit doud dingue de Katerine.

Et là le moins que l'on puisse dire c'est que cet esprit a tourné à plein régime lors de l'écriture de l'album. De la première piste où Katerine se rapproche de nous jusqu'à saturation (au sens propre) au "Champ de Blé" choral saccadé pseudo poético-philosophique en passant par de grands moments tels "Comment tu t'appelles ?" où Katerine répond à cette même question d'un mioche qu'on penserait sorti de l'exorciste, le tubesque "Blablabla" et bien d'autres. Le rire de Katerine devient même contagieux sur "Moustache", un grand délire que ne renieraient pas les Monty Pythons...

Christian venant de le faire très bien, je ne vais pas revenir sur chaque piste de cette galette nantaise, album impressionnant de 24 pistes toutes inutiles donc complètement indispensables, d'un disque qui a de quoi faire parler de lui.

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24 septembre 2010 5 24 /09 /septembre /2010 00:00

                             METAL





SERJ TANKIAN

"Imperfect Harmonies"
2010, Warner

 

tankian2.png

l'avis du disquaire

Le déjà mythique groupe System of a Down étant toujours en suspens, Serj Tankian, son chanteur, continue son petit bonhomme de chemin en solo avec un deuxième album (plus un live sorti entre les deux) qui pousse encore ses expérimentations dans la rencontre classique/métal.
Dans la droite lignée de l'album live, ce nouveau disque laisse de côté les grosse guitares au profit d'arrangements à cordes très riches et classieux, mais sans perdre la moindre énergie. Et bien au contraire certains titres donnent des envie de pogo jusque dans les orteils,  comme ce surpuissant "Left of Center"
D'autres morceaux font plus la part belle aux mélodies et aux ambiances planantes, tel "Reconstructive demonstration" ou le superbe "Yes, it's genocide" et ses magnifiques harmonies vocales dont seul Tankian sait nous gratifier.
Car si on pouvait remarquer que le principal défaut d'Elect the Dead", premier opus du chanteur, était l'absence de Daron Malakian, guitariste et seconde voix de SOAD, ici force est de constater que Tankian tient  parfaitement toute la partie vocale des onze titres, parfois aidé par une troublante voix féminie,notamment sur le dernier titre de l'album, le très world "Wings of Summer"), dans son style si particulier, ne reculant  devant aucune montée dans des vertiges aigus (le tubesque "Gate 21" que l'on retrouvait déjà sur le live).
Un disque en somme riche mais cohérent, énergique mais mélodique, bref complet et abouti.
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22 septembre 2010 3 22 /09 /septembre /2010 13:43

                             ELECTRO POP-ROCK





!!!(CHK CHK CHK) 

"Strange weather isn't it ?"
2010, Wagram

 

chkchkchk.jpg

 

l'avis du disquaire

Etrange météo, n'est-ce-pas !!!
Tiens, pourquoi ne pas renommer cette rubrique l'avis des jambes au lieu de l'avis du disquaire ? En fait, le disquaire a juste envie de bouger torse, mains et jambes, sans oublier de balancer la tête. On ne parle plus de musique mais de plaisir corporel. Triple points d'exclamation !!!
De l'electro funk à l'electro pop, de la dance punk à la disco funk, la marge est large, mais tous les danceflooristes y trouveront leur compte. C'est une des plus grosses machines à danser qui puisse exister. Ce 4ème album des californiens de !!! a été enregistré à Berlin. Malgré un personnel remanié par le départ du bassiste et du guitariste, la mort tragique de leur génial batteur, la magie est toujours de mise, plus que jamais.
Le groove est omniprésent, agrémenté par des percussions et de l'électronique. C'est un voyage qui nous mène des mythiques newyorkais Talking Heads au Mescaderos de Joe Strummer sans oublier LCD Soundsystem avec un son Manchester style Happy Mondays. Le batteur est d'une précision métronomique à l'image de celui de New Order.
L'opus démarre par un petit balayage stroboscopique AM/FM pour la mise en appétit et se termine par une gigantesque montée électro imparable "Hammer" en passant par la torride chanteuse Shannon Funchess et un soupçon de sax sur le succulent "Wannagain Wannagain".
Bref, que du plaisir, que du bonheur !!!
A ne pas rater en concert.
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15 septembre 2010 3 15 /09 /septembre /2010 08:06

                             ROCK





WEEZER 

"Hurley"
2010, PIAS

 

weezerhurley

 

l'avis du disquaire

Non, vous ne rêvez pas, la joyeuse figure de Jorge Garcia, l'interprète d'Hugo Reyes, alias Hurley, dans la série Lost, est bien la pochette du nouvel album de Weezer. Le quatuor américain n'en est pas à son coup d'essai dans le kitsch et rivalise d'album en album en therme de pochettes "étonnantes".

Mais derrière ce visuel qui a déjà créé un sacré buzz sur le net se cache un album en forme de retour aux sources pour Weezer, tournant le dos aux majors pour signer sur le label à forte tendance punk rock Epitaph (créé par le guitariste de Bad Religion Brett Gurrewitz). Volonté pour la bande à Rivers Cuomo de revenir à un rock indé plus musclé que leurs dernières productions.

Mais le disque Hurley n'est pas un simple retour en arrière et certainement pas une régression pour le combo geek. Forts de toutes l'expérience musical de leurs recherches en sonorités et rythmiques des deux précédents albums, Weezer nous offre ici un disque complet et très abouti, varié tout en gardant une même énergie.

Et dès le premier morceau "Memories", véritable hymne garage, le ton est donné : un son compact et brut, et des compo jouant plus sur le rythmique que le mélodique, du bon vieux Weezer en somme. Dans le même style, "Where's my sex" et ses changements de rythmes se pose comme l'un des tubes de ce huitième album, au même titre que la pseudo ballade "Unspoken".

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 07:12

agenda.jpgExposition Valérie Romuald

3 & 4 septembre 2010

 

 

L'Espace Culturel a eu le grand plaisir pendant deux jours d'accueillir Valérie Romuald pour présenter douze de ses tableaux.

 

Venez tous découvrir son blog : http://lespeinturesdevalerieromuald.over-blog.com/

 

Petit retour en images :

 

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Un grand merci à Valérie pour sa venue

 

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Christian, prisonnier de l'art

 

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Christine, l'a voulu, l'a pas eu... snif

 

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Christelle, quant à elle, les veut tous

 

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le coup de coeur de Virginie

 

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le grand Julien préfère les grands...

 

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... et le petit Julien les petits.

 

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Cédric, le zen émoi

 

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Virginie dans sa période bleue

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 00:00

Rentrée littéraire 2010
petite sélection subjective - 1


 

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nothombformedevie

Amélie Nothomb
 une Forme de vie
Albin Michel - 2010 - 168 pages

Amélie Nothomb répond à toutes les lettres qu'elle reçoit. Sachant cela, un militaire américain posté à Bagdad depuis six ans lui écrit, pensant qu'elle seule peut comprendre sa souffrance. En effet, Mervin Mapple est atteint de l'obésité qui frappe de plus en plus de soldats en Irak. Une intense correspondance se créée entre l'écrivain et le soldat.

l'avis du libraire
Qui dit rentrée littéraire dit nouveau livre d'Amélie Nothomb avecla question qui l'accompagne à chaque fois : roman autobiographique ou ficion ? Dand une Forme de Vie, Amélie Nothomb brouille les pistes en semettant en scène dans une histoire dont on ne sait si elle est véridique ou non, du moins jusqu'à un certain moment où le lecteur parvient à détermnier le vrai du faux. Comme dans tous ses romans, la Belge mêle habilement écriture simple et mots savants pour un résultat qui se dévore littéralement.

En alternant les lettres de Mervin et les siennes avec des petits commentaires entre chacune, Amélie Nothomb redonne un second souffle à ce style si particulier qu'est le roman épiscolaire, autrefois si populaire et qui aujourdh'hui pourrait ressembler à une suite de lol, mdr et autres smileys tant nous avons perdu l'intérêt pour les belles lettres. L'auteur nous lance ici à la tête ces lettres pleines de force, d'espoir ou de désespoir, d'engouement ou de malaise. 

Et une grande nouveauté chez Amélie Nothomb : plusieurs lettres montrent une vraie conscience politique, un vrai engagement, toujours avec son humour si fin et attachant, qui est si loin du nombrilisme supposé que lui repprochent ses détracteurs.

Ces dernières années, Amélie Nothomb nous propose des oeuvres vraiment passionnantes, originales et puissantes, Une Forme de Vie confirme son talent, vivement l'année prochaine ! 

 

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 15:42

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L'Espace Culturel visite

Léz'Arts Scéniques...


30.31/07-01/08/2010, Sélestat

 

Si l’Espace Culturel soutenait Léz’Arts Scéniques avant le festival, il en a été de même lors de l’événement. Une bonne partie de l’équipe s’est en effet rendu sur place pour profiter de la musique et de l’ambiance du plus grand événement musical de Sélestat.

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Vendredi 30 juillet
La journée métal avec des très grands noms comme Loudblast, Paradise Lost, Koritni, et bien sûr Motorhead. Mais les prestations qui ont le plus marqué Benoît et Cédric cette première soirée furent celles d’Ultra Vomit et Eluveitie. Les premiers avec leur énergie et leur humour omniprésent, que ce soit dans les chansons ou entre. Les seconds par leur folk metal celtique très efficace et leur prestation scénique hallucinante qui restera parmi les meilleures du weekend.

 

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les Nantais Ultra Vomit

 

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les Suisses d'Eluveitie

 

Et dès ce premier jour de belles rencontres, avec Ultra Vomit et la Pute, excellent DJ qui se produira le lendemain avec son acolyte le Catcheur.

 

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grosse poilade avec Ultra Vomit

 

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Benoît et... la Pute (si si)

 


Samedi 31 juillet
La soirée punk qui donnait tant d’étoiles dans les yeux de Cédric à sa seule évocation… Et une soirée qui a plus que tenu ses promesses.
Ce sont de nouveau Benoît et Cédric qui étaient présents, ainsi que Christian, ce soir là en savourant les prestations de Soldat Louis, Ska-P, le Bal des Enragés, les Wampas, les Buzzcocks, le Catcheur et la Pute et surtout un show électrisant des mythiques Bad Religion !

 

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Soldat Louis

 

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Bad Religion

 

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Didier Wampas est toujours le roi

 

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la revolución Ska-P

 

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Le Catcheur et la Pute (et Klodia)

 

Et encore de très sympathiques rencontres pour Cédric et Benoît avec Greg Graffin, chanteur de Bad Religion et le Catcheur.


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Cédric avec Greg Graffin, de Bad Religion

"J'avais beau faire une demie tête de plus que lui,

je me sentais vraiment tout petit" Cédric

 

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Benoît avec... vous vous doutez qui...



Dimanche 1er août
Cette dernière journée voit une grande affluence de l’Espace Culturel puisque Virginie, Sandrine, Ludo, Boris et Julien the Padawan ont rejoint Benoît, Christian et Cédric sur le site. De très bon moments de musique encore une fois avec un grand IAM et des bonnes claques sur Sinsémilia, Naive New Beaters et Chinese Man, sans oublier le gigantesque Toots & the Maytals et Gérard Baste qui a su réveiller le punk en chacun de nous.

 

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Retrouvailles sur le site

 

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Gérard Baste, ex-Svinkels

 

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Elmer Food Beat

 

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Virginie et Sandrine devant Sinsemillia

 

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Sinsemillia

 

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Christian s'apprête à danser le mia

 

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les excellents Naive New Beaters

 

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repos mérité, mais en musique

 

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Benoît nous présente son briquet spécial concert

 

Et pour ne pas déroger à la règle, petite rencontre dès le début d’après midi avec Riké de Sinsé qui prend lui-même les photos avec son public.

 

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Un excellent festival qu’on espère tous revivre en 2011 avec déjà un très grand nom annoncé : les mythiques Dubliners, papes de musique trad irlandaise…

 

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Salut à toi Léz'Arts !

 

Un grand bravo et merci aux organisateurs et bénévoles du festival pour leur excellent travail et leur grande sympathie, et à l’année prochaine ! 

 

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 16:12

                                              ROCK



 

 

Health

"Get color"
2010, Pias

 

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L'avis du disquaire

Le bruit et la couleur

Health est un groupe de noise rock, indie rock expérimental américain originaire de Los Angeles Formé en 2006, le groupe s’est fait connaître en assurant de nombreux concerts gratuitement, dont la 1ère partie de Nine Inch Nails. Health exécute un rock bruitiste, violent, teinté d'influences tribales.

Mais c'est également un rock expérimental car avec cet album, l'apport de l'électronique a pris de l'envergure. Dès le 2ème morceau, une ponctuation pop se mêle aux déflagrations soniques, aux martèlements de fûts, aux chants plaintifs et aux effets électroniques. Le résultat musical est envoûtant, puissant et jouissif.

Sur scène, le groupe joue sa pleine mesure de chaos et de décharge sonore. La violence est alors démultipliée, le chanteur traite ses machines électroniques aussi démesurément qu'il triture sa guitare. C'est une explosion démentielle, un mur de son, une rythmique épileptique, un électrochoc. Si le noisy est votre tasse de bière, alors n'hésitez pas à les voir sur scène.

La musique de Health se situe entre l'indus, la noise et l'électro. C'est une dose de Punish Yourself plus une dose de Sonic Youth plus une dose de Alec Empire plus toutes les doses que vous voulez, toujours basées sur l'urgence et l'énergie. Le son unique du groupe est dû à un instrument bizarre, le “zoothorn”, un micro relié à diverses pédales d’effets.

Post indus à l'esthétique post punk ? Ce disque opus très court, 9 morceaux et 32 minutes, réussit à mettre au service une extrême maîtrise des charges soniques à une mélancolie latente. La musique de Health est dévergondée, elle fait vraiment du bien au corps,… et à l'esprit.

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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 00:00

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